- EAN13
- 9782258121850
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Presses de la cité)
- Date de publication
- 1982
- Collection
- Troupes de choc
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La Crète, tombeau des paras allemands
Jean Mabire
FeniXX réédition numérique (Presses de la cité)
Troupes de choc
Livre numérique
Le 20 mai 1941, les hommes du général Student sautent sur la Crète. Leurs
adversaires, prévenus, sont en alerte depuis deux jours. Mitraillés en plein
ciel, poursuivis sous les oliviers et dans les vignobles, abattus par des
tireurs d'élite dès qu'ils quittent leurs trous, perdus dans une campagne
hostile où rôdent les terribles francs-tireurs crétois, les paras vont
connaître une semaine d'épouvante et de misère. Le premier soir, ils n'ont
atteint aucun de leurs objectifs, malgré des pertes effroyables. Et pourtant,
sept jours plus tard, les paras, renforcés par des alpins, arrivés par avion
sous le feu de l'ennemi, parviennent à enlever la capitale de l'île et à
gagner la bataille. Sur les six mille paras, on comptera plus de la moitié de
blessés, disparus ou tués. Winston Churchill a écrit dans ses Mémoires : "À
bien des égards, la bataille de Crète était quelque chose de nouveau. Jamais
auparavant, le monde n'avait assisté à un spectacle de guerre de ce genre. Ces
parachutistes courageux étaient la fleur de la jeune génération allemande.
Leur destin a voulu qu'ils se heurtent à d'autres soldats qui avaient fait le
tour de la moitié de la terre, afin de combattre comme volontaires pour la
patrie."
adversaires, prévenus, sont en alerte depuis deux jours. Mitraillés en plein
ciel, poursuivis sous les oliviers et dans les vignobles, abattus par des
tireurs d'élite dès qu'ils quittent leurs trous, perdus dans une campagne
hostile où rôdent les terribles francs-tireurs crétois, les paras vont
connaître une semaine d'épouvante et de misère. Le premier soir, ils n'ont
atteint aucun de leurs objectifs, malgré des pertes effroyables. Et pourtant,
sept jours plus tard, les paras, renforcés par des alpins, arrivés par avion
sous le feu de l'ennemi, parviennent à enlever la capitale de l'île et à
gagner la bataille. Sur les six mille paras, on comptera plus de la moitié de
blessés, disparus ou tués. Winston Churchill a écrit dans ses Mémoires : "À
bien des égards, la bataille de Crète était quelque chose de nouveau. Jamais
auparavant, le monde n'avait assisté à un spectacle de guerre de ce genre. Ces
parachutistes courageux étaient la fleur de la jeune génération allemande.
Leur destin a voulu qu'ils se heurtent à d'autres soldats qui avaient fait le
tour de la moitié de la terre, afin de combattre comme volontaires pour la
patrie."
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