- EAN13
- 9782385410254
- Éditeur
- SPM Lettrage
- Date de publication
- 04/12/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782385410254
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34.99
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Se souvient-on de l’amiral Violette (1869-1950) ? Ou plutôt, doit-on s’en
souvenir ? À la signature de l’armistice de 1940, la France possède une des
plus belles marines de son histoire. En vingt ans, la flotte sortie exsangue
de la Grande Guerre avec des équipages démoralisés est effectivement devenue
une des plus puissantes du monde, servie par des marins compétents et
entraînés.
Parmi les acteurs de ce formidable renouveau il faut placer le vice-amiral
Hippolyte Violette aux côtés du ministre Georges Leygues. Pauvre orphelin
bourguignon qui n’avait jamais vu la mer, Violette devint par sa détermination
et son travail acharné l’amiral des amiraux. Il a parcouru le Pacifique à la
voile comme au temps de Bougainville, inventé le périscope opérationnel pour
les sous-marins et une lunette de tir, mené la guerre sans relâche entre 1914
et 1918, enfin pris des mesures majeures pour la renaissance de la flotte.
Officier progressiste, il s’employa aussi à « républicaniser » la Royale,
surnom de la Marine nationale.
Ses archives personnelles inédites permettent de sortir de l’oubli un des plus
remarquables de nos amiraux, le « meilleur chef d’État-major général depuis la
guerre » selon l’amiral Darlan, et de découvrir des aspects méconnus de
l’histoire navale de la IIIe République.
*[XIXe]: Dix-neuvième
souvenir ? À la signature de l’armistice de 1940, la France possède une des
plus belles marines de son histoire. En vingt ans, la flotte sortie exsangue
de la Grande Guerre avec des équipages démoralisés est effectivement devenue
une des plus puissantes du monde, servie par des marins compétents et
entraînés.
Parmi les acteurs de ce formidable renouveau il faut placer le vice-amiral
Hippolyte Violette aux côtés du ministre Georges Leygues. Pauvre orphelin
bourguignon qui n’avait jamais vu la mer, Violette devint par sa détermination
et son travail acharné l’amiral des amiraux. Il a parcouru le Pacifique à la
voile comme au temps de Bougainville, inventé le périscope opérationnel pour
les sous-marins et une lunette de tir, mené la guerre sans relâche entre 1914
et 1918, enfin pris des mesures majeures pour la renaissance de la flotte.
Officier progressiste, il s’employa aussi à « républicaniser » la Royale,
surnom de la Marine nationale.
Ses archives personnelles inédites permettent de sortir de l’oubli un des plus
remarquables de nos amiraux, le « meilleur chef d’État-major général depuis la
guerre » selon l’amiral Darlan, et de découvrir des aspects méconnus de
l’histoire navale de la IIIe République.
*[XIXe]: Dix-neuvième
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