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On l’appelait Belgique
EAN13
9782748381924
Éditeur
Mon Petit Éditeur
Date de publication
Langue
français
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On l’appelait Belgique

Mon Petit Éditeur

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782748381924
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La Belgique n’est toujours pas sortie de l’impasse politique dans laquelle l’a
plongée, le 22 avril 2010, la démission provoquée du gouvernement Leterme II.
Elle détient désormais un double record. Européen d’abord, en étant le premier
État-membre de l’Union à avoir assumé l’intégralité d’une Présidence (1er
juillet - 31 décembre 2010) avec un gouvernement en affaires courantes ;
mondial, ensuite, en étant le pays resté le plus longtemps sans gouvernement
de plein exercice. Depuis sa création en 1830, le Royaume a connu bien des
crises communautaires, mais celle qu’il traverse depuis plus d’un an semble
inextricable. La Belgique est en état de mort clinique, déclare le député
flamand Eric Van Rompuy, frère du président du Conseil européen. Les missions
que se voient confier, par un Roi de plus en plus fragilisé, informateurs,
médiateurs et autres négociateurs relèvent de la quadrature du cercle. Dans
cet essai, au style percutant, Jules Gheude explique que la situation actuelle
était largement prévisible. Il était, en effet, inscrit dans les astres qu’un
État-Nation flamand finirait par voir le jour. Cette évolution est non
seulement cause de l’échec définitif du fédéralisme, mais elle rend aussi
inéluctable la scission du Royaume.
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