- EAN13
- 9782764644683
- Éditeur
- Éditions du Boréal
- Date de publication
- 31/01/2017
- Collection
- Romans et récits
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Un garçon et son frère habitant la banlieue adoptent un ours à la patte
coupée. Un jeune homme qui rêve de poésie fait son entrée dans les cercles
littéraires guidé par son mentor. Un homme d’âge mûr va camper avec son frère
et son neveu et raconte à ce dernier l’histoire de leurs ancêtres gallois. Un
écrivain est bouleversé de voir un de ses amis, photographe de grand talent,
tout simplement décider de mettre un terme à son oeuvre. Comment naissent les
récits ? Comment se transmettent-ils au sein de la famille, de la fratrie ?
Comment modèlent-ils nos vies, souvent à notre insu ? Pourquoi décide-t-on un
jour de les écrire pour que des étrangers les lisent ? Pourquoi pourrait-on
également un jour décider de se taire et de les garder pour soi ? «Voir un
homme abandonner son oeuvre me fait de la peine. C’est pour ça que je
persiste, même si le terme se dessine. Mon ami Jogues a achevé sa carrière
pour ne pas se taper son agonie. Cette superbe m’est étrangère. Je travaille
avec une ambition de plus en plus élémentaire. J’écris pour voir à quoi la vie
ressemble, une fois écrite.»
coupée. Un jeune homme qui rêve de poésie fait son entrée dans les cercles
littéraires guidé par son mentor. Un homme d’âge mûr va camper avec son frère
et son neveu et raconte à ce dernier l’histoire de leurs ancêtres gallois. Un
écrivain est bouleversé de voir un de ses amis, photographe de grand talent,
tout simplement décider de mettre un terme à son oeuvre. Comment naissent les
récits ? Comment se transmettent-ils au sein de la famille, de la fratrie ?
Comment modèlent-ils nos vies, souvent à notre insu ? Pourquoi décide-t-on un
jour de les écrire pour que des étrangers les lisent ? Pourquoi pourrait-on
également un jour décider de se taire et de les garder pour soi ? «Voir un
homme abandonner son oeuvre me fait de la peine. C’est pour ça que je
persiste, même si le terme se dessine. Mon ami Jogues a achevé sa carrière
pour ne pas se taper son agonie. Cette superbe m’est étrangère. Je travaille
avec une ambition de plus en plus élémentaire. J’écris pour voir à quoi la vie
ressemble, une fois écrite.»
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