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Conseillé par Anne-Lise D. (Libraire)26 mai 2021
Impeccable !
Terra Alta est un polar situé en terre reculée de Catalogne où Melchior, lecteur inconditionnel des Misérables de V. Hugo, devenu flic pour retrouver les assassins de sa mère, est confronté au meurtre d’un vieux couple fortuné. C’est une enquête, c’est aussi une introspection, un retour sur le passé toujours douloureux de la guerre d’Espagne et toujours cette même question autour du juste et de l’injuste. Impeccable !
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Conseillé par Cyrille L. (Libraire)16 avril 2021
"Terra Alta", premier volet de la série “Melchor Marín”. Entre Histoire et Littérature, Javier Cercas explore le genre policier avec beaucoup de talent. Son personnage Melchor Marín est un homme blessé, policier passionné de littérature, il doit enquêter sur le meurtre d’un couple d’industriels catalans et faire face aux angoisses qui l’habitent.
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Conseillé par Matatoune V.3 juillet 2021
Alors, à quand la suite …
Javier Cercas laisse l’autofiction notamment sur l’histoire contemporaine de l’Espagne pour investir le domaine du polar avec Terra Alta pour lequel il a reçu le prix Planète 2019.
Melchor Marin, surnommé l’Espagnolard par ses collègues policiers, est arrivé depuis quatre ans en Terra Alta. Marié à Olga, la bibliothécaire, ils ont une fille qui s’appelle Cosette.
Finissant son service de nuit, il reçoit l’appel d’une domestique sud-américaine qui prévient du double meurtre de ses patrons. Meurtres stupéfiants de violence sur cette terre aride, sèche et brulée à plus de deux heures de Barcelone où d’habitude il ne se passe jamais rien !
Avec ce flic de polar, Javier Cercas retrouve les sujets vers lesquels il aime s’aventurer : la guerre civile qui a séparé les frères, familles et amis d’un même village, le pouvoir capitaliste qui écrase les plus petits, le déterministe social inéluctable qui contraint, et enfin, la liberté de chacun de construire sa vie de la manière qu’il choisit.
Pourtant, Terra Alta est aussi une ode à la littérature.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2021/07/03/javier-cercas/