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Le grand secours

Thomas B. Reverdy

Flammarion

  • Conseillé par (Libraire)
    16 novembre 2023

    Plongée en caméra subjective, par un jour d'hiver à Bondy, depuis le calme jusqu'au tumulte. Brillant. - Guillaume


  • Conseillé par (Libraire)
    27 septembre 2023

    Être professeur à Bondy

    Candice est professeure de français et a invité un poète pour un atelier d'écriture à Bondy, banlieue déshéritée entre autoroutes, nationale et zone commerciale. Il va se rendre compte de la difficulté d'enseigner, d'autant que ce jour-là va se passer une altercation de rue qui va dégénérer dans l'établissement et provoquer une émeute.
    On voit bien le climat qui peut se perturber assez vite et la volonté de faire découvrir aux élèves la littérature classique et contemporaine.
    Très bon roman, qui se base sur la réalité du terrain et l'espoir que l'on a lorsqu'on se dévoue à sa mission.


  • Conseillé par
    15 septembre 2023

    Cette journée, Thomas B. Reverdy la rapporte avec l’enchaînement des cours, l’intrusion, la rencontre avec le poète, l’explosion de la violence, la vie d’un carrefour encombré, l’affrontement avec une jeunesse blessée, le chagrin d’amour d’un adolescent, une cantine surpeuplée… Mais, au cours de ces heures, il y a la rencontre de deux solitaires.
    Car, demain, Candice reprendra son vélo ! Plus question d’oublier Candice, Paul, Mo ou Sarah.
    Un vrai coup de cœur !
    Suite de la chronique illustrée ici
    https://wordpress.com/page/vagabondageautourdesoi.com/12488?site=vagabondageautourdesoi.com


  • Conseillé par
    17 août 2023

    « Mauvaise graine fabrique des insomnies »

    Une seule journée pour faire saisir la réalité d'un quartier hyper-urbanisé et de son lycée à Bondy, en Seine-Saint-Denis. En faisant se croiser profs et élèves, habitants et travailleurs, avec leur part d'héroïsme du quotidien, l'auteur réussit à évoquer, sans caricature, la ségrégation sociale, la déliquescence des services publics et, en premier lieu, celle de l'Éducation nationale, l'absence de perspectives émancipatrices pour les habitants des quartiers populaires, la jeunesse follement créative mais désabusée, les violences policières, le rôle des réseaux sociaux... Avec ce constat, un peu implacable : « On ne peut pas demander à l'école de soigner la société. ».