Anne Sinclair s'est plongée dans les archives familiales et celles des musées pour retracer l'histoire de son grand-père Paul Rosemberg. Plus qu'un marchand, il est passionné d'art, ami et mécène de Picasso, Braque, Matisse, Léger. Il ouvre une galerie à Paris en 1911 puis à Londres en 1930. Juif, avant que les Allemands n’occupent les lieux, les saccagent, confisquent les œuvres, il fuit en 1940 à New York avec sa famille où il reprend son activité en gardant jusqu'à sa mort le contact avec les peintres qu'il affectionnait.

Anne Sinclair s'est plongée dans les archives familiales et celles des musées pour retracer l'histoire de son grand-père Paul Rosemberg. Plus qu'un marchand, il est passionné d'art, ami et mécène de Picasso, Braque, Matisse, Léger. Il ouvre une galerie à Paris en 1911 puis à Londres en 1930. Juif, avant que les Allemands n’occupent les lieux, les saccagent, confisquent les œuvres, il fuit en 1940 à New York avec sa famille où il reprend son activité en gardant jusqu'à sa mort le contact avec les peintres qu'il affectionnait.

Qu’a –t-il bien pu se passer dans la tête de Thomas pour qu’il décide de partir brutalement, alors qu’il vient de passer des vacances heureuses en famille ? Il laisse tout derrière lui et choisit de disparaître. Astrid, sa femme, se demande quand il va revenir et doit répondre aux questions des enfants. Thomas, lui, avance sur les sentiers des Alpes suisses dans des paysages grandioses, vers une autre vie. Avec lui nous réfléchissons à notre propre existence, à ces chemins que nous pourrions prendre mais que nous n’osons pas emprunter.

Qu’a –t-il bien pu se passer dans la tête de Thomas pour qu’il décide de partir brutalement, alors qu’il vient de passer des vacances heureuses en famille ? Il laisse tout derrière lui et choisit de disparaître. Astrid, sa femme, se demande quand il va revenir et doit répondre aux questions des enfants. Thomas, lui, avance sur les sentiers des Alpes suisses dans des paysages grandioses, vers une autre vie. Avec lui nous réfléchissons à notre propre existence, à ces chemins que nous pourrions prendre mais que nous n’osons pas emprunter.

Pour la première fois, Philippe Besson « arrête avec ses mensonges » et se raconte. Il est ici question du premier amour adolescent, de rupture et de manque. L’écriture est belle et sans fioritures. J’ai été particulièrement émue à la lecture de ce roman magnifique et poignant.

Pour la première fois, Philippe Besson « arrête avec ses mensonges » et se raconte. Il est ici question du premier amour adolescent, de rupture et de manque. L’écriture est belle et sans fioritures. J’ai été particulièrement émue à la lecture de ce roman magnifique et poignant.