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la Galerne vous conseille ces textes courts rares, drôles ou originaux

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Éditions Allia

“Le fait que vous lisiez tel genre de littérature aux cabinets et tel autre ailleurs devrait être lourd de sens pour le psychiatre. Le fait même que vous lisiez ou que vous ne lisiez pas aux cabinets devrait être lourd de sens pour lui. On ne parle malheureusement pas assez de tels problèmes. On estime que ce que chacun fait aux cabinets ne regarde que lui. Il n’en est rien. Cela concerne l’univers tout entier.”
Une désacralisation iconoclaste de la culture par l’auteur du Tropique du Cancer, prétexte à des vagabondages intellectuels pleins d’humour à propos du livre, des classiques, des œuvres qui l’ont marqué.
Traduit de l'anglais par Jacques Rosenthal.


10,00

Chaque année, un milliard de touristes parcourent le monde. En 2020, ils seront un milliard et demi à vous assommer avec leur récit de voyage.
" C'est à mourir de rire. Je l'ai lu d'une traite en Belgique où je donnais une tournée de quatre-vingts conférences sur mes voyages. " Sylvain Tesson
Chaque année, un milliard de touristes parcourent le monde. En 2020, ils seront un milliard et demi à vous assommer avec leur récit de voyage.
Depuis toujours, l'art de voyager se confond avec l'art de raconter ses voyages. Autrement dit avec l'art d'ennuyer ses proches en étalant son bonheur ou en se faisant passer pour un aventurier.
Hier, cela se faisait lors de soirées diapositives. Aujourd'hui, grâce aux réseaux sociaux, il est possible d'inonder ses contacts sous un flot continu de commentaires, photos et vidéos. Notre capacité à assommer avec nos récits de vacances est devenue sans limite.
C'est à cet art subtil, puisant dans un savoir-faire ancestral, que nous initie Matthias Debureaux dans ce manuel à l'ironie mordante qui se moque de tous nos travers de touristes. Un petit texte au style raffiné et à l'humour corrosif.


Fayard/Mille et une nuits

L’oisiveté (otium) n’était pas pour les Romains un vilain défaut mais, au contraire, le contrepoint nécessaire au negotium, à l’activité, celle des affaires courantes et extraordinaires, qui dilapident le temps et exacerbent les passions. Pour autant, pas question de « ne rien faire ». Pour le sage, être oisif, c’est choisir la retraite, l’exil intérieur et le repli sur l’activité méditative. Préférer l’étude de la nature et la contemplation, pour trouver le bonheur. Dans notre époque où tout va trop vite, apprenons à nous débrancher. Adoptons le programme de Sénèque.


5,70

Que se passerait-il outre-Manche si Sa Majesté la Reine se découvrait une passion pour la lecture ? Si, d'un coup, rien n'arrêtait son insatiable soif de livres, au point qu'elle en vienne à négliger ses engagements royaux ? C'est à cette drôle de fiction que nous invite Alan Bennett, le plus grinçant des comiques anglais. Henry James, les sœurs Brontë, Jean Genet et bien d'autres défilent sous l'œil implacable d'Elizabeth, cependant que le monde so British de Buckingham Palace s'inquiète. Du valet de chambre au prince Philip, tous grincent des dents tandis que la royale passion littéraire met sens dessus dessous l'implacable protocole de la maison Windsor.
Un succès mondial a récompensé cette joyeuse farce qui, par-delà la drôlerie, est aussi une belle réflexion sur le pouvoir subversif de la lecture.
Que se passerait-il outre-Manche si Sa Majesté la Reine se découvrait une passion pour la lecture ? Si, d'un coup, rien n'arrêtait son insatiable soif de livres, au point qu'elle en vienne à négliger ses engagements royaux ? C'est à cette drôle de fiction que nous invite Alan Bennett.


Préface d’Antoine de Caunes.
Formé à l’école de Maupassant, l’inventeur d’Arsène Lupin s’entendait joliment à tenir la plume. Est ici remis au jour l’un de ses romans « sportifs », chant d’amour à la fée Bicyclette !
Deux couples dans le vent entreprennent un petit tour de Normandie et de Bretagne à vélo, pensent d’abord avoir présumé de leurs forces..., mais décuplent celles-ci par le moyen d’un élixir imprévu : l’amour. Tous quatre s’aperçoivent rapidement que l’assortiment de départ n’était pas le bon ; l’on change donc de partenaire, non sans quelques hésitations ni cachotteries d’abord. Et l’on se met dès lors à brûler les étapes...
Le lecteur découvrira surtout un romancier qui pour l’époque avait des idées plutôt culottées (ou déculottées, comme on voudra), qui prend parti pour la nudité des corps et des cœurs, prône l’amour libre et toutes sortes d’émancipations, et donne sans barguigner le beau rôle à ces dames.
Un hymne à la liberté !

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