- EAN13
- 9782080240729
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 03/02/2021
- Collection
- Champs Sciences
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782080240705
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
7.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782080240729
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
7.99 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Flammarion 8,50
Le temps est une « chose » introuvable dont l’existence ne fait aucun doute.
Une « chose » dont tout le monde parle mais que personne n’a jamais vue. Nous
voyons, entendons, touchons, goûtons dans le temps, mais non le temps lui-
même. Contre toute attente, Chronos est un planqué, un caméléon qu’il faut
débusquer sous nos habitudes de langage et de perception. Pour le démasquer,
il va falloir l’effeuiller peu à peu, le distinguer de ses effets les plus
sensibles : la durée, la mémoire, le mouvement, le devenir, la vitesse, la
répétition. Parce que les horloges ne mesurent pas forcément du temps. Parce
que le temps est toujours là alors qu’on dit qu’il s’écoule. Et qu’il existe
indépendamment de ce qui survient, se transforme, vieillit et meurt.
Aujourd’hui, le regard le plus audacieux et le plus déconcertant sur le temps,
c’est la physique qui le porte. De Galilée à Einstein, puis de l’antimatière
aux supercordes, elle n’a cessé d’approfondir la question jusqu’à ouvrir des
perspectives qui donnent le vertige : le temps a-t-il précédé l’Univers ?
Comment s’est-il mis en route ? Pourrait-il inverser son cours ? Au bout du
compte, le temps pourrait bien être méconnaissable.
Une « chose » dont tout le monde parle mais que personne n’a jamais vue. Nous
voyons, entendons, touchons, goûtons dans le temps, mais non le temps lui-
même. Contre toute attente, Chronos est un planqué, un caméléon qu’il faut
débusquer sous nos habitudes de langage et de perception. Pour le démasquer,
il va falloir l’effeuiller peu à peu, le distinguer de ses effets les plus
sensibles : la durée, la mémoire, le mouvement, le devenir, la vitesse, la
répétition. Parce que les horloges ne mesurent pas forcément du temps. Parce
que le temps est toujours là alors qu’on dit qu’il s’écoule. Et qu’il existe
indépendamment de ce qui survient, se transforme, vieillit et meurt.
Aujourd’hui, le regard le plus audacieux et le plus déconcertant sur le temps,
c’est la physique qui le porte. De Galilée à Einstein, puis de l’antimatière
aux supercordes, elle n’a cessé d’approfondir la question jusqu’à ouvrir des
perspectives qui donnent le vertige : le temps a-t-il précédé l’Univers ?
Comment s’est-il mis en route ? Pourrait-il inverser son cours ? Au bout du
compte, le temps pourrait bien être méconnaissable.
S'identifier pour envoyer des commentaires.