- EAN13
- 9791038808775
- Éditeur
- Ex Aequo
- Date de publication
- 15/09/2024
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
En mai 1945, une commission médico-légale de l’Armée rouge autopsia 13 corps
trouvés près de la chancellerie du Reich à Berlin. 13 procès-verbaux furent
alors dressés. L’acte 12 attribué à un cadavre calciné présumé être celui
d’Hitler, fut tenu secret jusqu’en 1968, date de sa divulgation en Occident
par un historien soviétique. Depuis, les autorités russes affirment détenir
comme vestiges d’Hitler, des mâchoires et une calotte crânienne, le reste du
corps ayant été incinéré en 1970 par le KGB. L’auteur porte un regard critique
sur l’enquête menée par l’Armée rouge à Berlin en mai 1945 autour du cadavre
12 et de dépouilles d’autres dignitaires nazis. Il décrit pour la première
fois, les conditions dans lesquelles les légistes soviétiques ont dû officier,
ce qui n’a pas été sans conséquences sur les conclusions de certains de leurs
rapports d’autopsie. L’auteur s’est alors efforcé de déceler quels secrets se
trouvaient dissimulés dans l’acte 12 et d’en comprendre les raisons.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Eric Laurier est médecin légiste, diplômé d’Études Approfondies de
Préhistoire, Ethnologie, Anthropologie (Paris 1). Expert judiciaire, il dirige
l’unité médico-légale du CH de Valenciennes et est chargé d’enseignement à
l’Université de Lille et à l’Université Polytechnique Hauts-de-France.
trouvés près de la chancellerie du Reich à Berlin. 13 procès-verbaux furent
alors dressés. L’acte 12 attribué à un cadavre calciné présumé être celui
d’Hitler, fut tenu secret jusqu’en 1968, date de sa divulgation en Occident
par un historien soviétique. Depuis, les autorités russes affirment détenir
comme vestiges d’Hitler, des mâchoires et une calotte crânienne, le reste du
corps ayant été incinéré en 1970 par le KGB. L’auteur porte un regard critique
sur l’enquête menée par l’Armée rouge à Berlin en mai 1945 autour du cadavre
12 et de dépouilles d’autres dignitaires nazis. Il décrit pour la première
fois, les conditions dans lesquelles les légistes soviétiques ont dû officier,
ce qui n’a pas été sans conséquences sur les conclusions de certains de leurs
rapports d’autopsie. L’auteur s’est alors efforcé de déceler quels secrets se
trouvaient dissimulés dans l’acte 12 et d’en comprendre les raisons.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Eric Laurier est médecin légiste, diplômé d’Études Approfondies de
Préhistoire, Ethnologie, Anthropologie (Paris 1). Expert judiciaire, il dirige
l’unité médico-légale du CH de Valenciennes et est chargé d’enseignement à
l’Université de Lille et à l’Université Polytechnique Hauts-de-France.
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