- EAN13
- 9782364682580
- ISBN
- 978-2-36468-258-0
- Éditeur
- Editions du Sous-Sol
- Date de publication
- 05/04/2018
- Collection
- Feuilleton non-fiction
- Nombre de pages
- 464
- Dimensions
- 21 x 14,2 x 3 cm
- Poids
- 470 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Feuilleton non fiction Newjack
Dans la peau d'un gardien de prison
De Ted Conover
Traduit par Anatole Pons
Editions du Sous-Sol
Feuilleton non-fiction
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Dans un pays où la population carcérale est la plus importante au monde, l’accès à Sing Sing, célèbre prison de l’État de New York, est interdit aux curieux, quasiment impossible d’accès aux reporters. Ted Conover, écrivain et journaliste de profession, raconte : “Je voulais entendre la voix de ceux que l’on n’entend jamais, la voix des gardiens, des personnes qui sont en première ligne de notre politique carcérale, les mandataires de la société.”
C’est après avoir essuyé plusieurs refus qu’il décide de passer le concours d’agent pénitentiaire, seul moyen d’entrer à Sing Sing sans commettre de crime. C’est ainsi que commence Newjack, une plongée fascinante dans l’univers carcéral, où pendant près d’une année le lecteur déambule aux côtés de Ted Conover dans les couloirs du pénitencier, entre discipline militaire, affectations difficiles, violences et vie de famille. Au travers de ce témoignage se dessinent le récit de la vie de maton et les maux de nos sociétés, avec cette question obsédante de l’auteur qui court de la première à la dernière ligne : “Pourrais-je survivre là-dedans ?”
C’est après avoir essuyé plusieurs refus qu’il décide de passer le concours d’agent pénitentiaire, seul moyen d’entrer à Sing Sing sans commettre de crime. C’est ainsi que commence Newjack, une plongée fascinante dans l’univers carcéral, où pendant près d’une année le lecteur déambule aux côtés de Ted Conover dans les couloirs du pénitencier, entre discipline militaire, affectations difficiles, violences et vie de famille. Au travers de ce témoignage se dessinent le récit de la vie de maton et les maux de nos sociétés, avec cette question obsédante de l’auteur qui court de la première à la dernière ligne : “Pourrais-je survivre là-dedans ?”
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