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Friedrich Engels et les peuples «sans histoire», La question nationale et la révolution de 1848
EAN13
9782849506929
ISBN
978-2-84950-692-9
Éditeur
Syllepse
Date de publication
Collection
Mille Marxismes
Nombre de pages
350
Dimensions
21 x 15 x 2,1 cm
Poids
498 g
Langue
allemand
Fiches UNIMARC
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Friedrich Engels et les peuples «sans histoire»

La question nationale et la révolution de 1848

De

Syllepse

Mille Marxismes

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Le rêve de l’Europe supra-étatique va-t-il se briser sur la question nationale ? En Catalogne, en Écosse, en Corse et au Pays basque, des peuples affirment leur droit à vivre un destin que la mondialisation capitaliste ne peut pas satisfaire. Plus à l’Est, notamment en Ukraine et dans l’ex-Yougoslavie, la même question ébranle les dominations.
Si le néolibéralisme unificateur bute sur ce renouveau de la question des droits des nations à disposer d’elles-mêmes, la gauche, radicale ou non, semble en peine pour offrir ses solutions. Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice.
Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s’est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l’époque, Friedrich Engels s’attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de « peuples sans histoires », lesquels « n’ont pas été capables de constituer des États et n’ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale » qu’il oppose aux nations « révolutionnaires ».

C’est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.
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