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ALBI  -  La Cité épiscopale - Capitale de la brique, la cité épiscopale
EAN13
9782363780003
ISBN
978-2-36378-000-3
Éditeur
Grand Sud
Date de publication
Nombre de pages
96
Dimensions
22,6 x 14,8 x 1,3 cm
Poids
760 g
Langue
français
Code dewey
914.473700222
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ALBI - La Cité épiscopale - Capitale de la brique

la cité épiscopale

De ,

Illustrations de

Grand Sud

Indisponible
A Brasilia, le 31 juillet 2010, les membres du comité du patrimoine mondial de l’UNESCO ont voté, à l’unanimité, l’inscription de la Cité épiscopale d’Albi au Patrimoine de l’Humanité. Une consécration méritée pour une ville riche de vingt siècles d’histoire, héritière d’un patrimoine prestigieux et unique. Pour célébrer cet événement, les Editions Grand Sud ont sélectionné dans leurs collections les meilleures photographies. Il convenait d’accompagner d’illustrations de qualité la présentation de cette cité épiscopale, unique et grandiose, sertie dans un écrin de briques et d’eau. Le cœur de la Cité épiscopale comporte deux monuments jumeaux : la cathédrale Sainte-Cécile et le Palais épiscopal, la Berbie, et constitue le plus bel ensemble de brique qui soit en France. Ces deux édifices, d’allure fortifiée et altière, sont nés à la suite de la croisade contre les Albigeois, en partie comme réponse aux « cathares ». L’extérieur austère de la cathédrale contraste avec un intérieur somptueusement décoré : elle est, en effet, la seule en Europe qui soit entièrement peinte ; le visiteur ne manque pas d’être séduit par le plus impressionnant et le plus grand Jugement dernier, le seul jubé de France, entièrement conservé dans une cathédrale, un chœur révélant un ensemble de statuaire de grande qualité, et enfin, le plus grand et le plus précoce ensemble de peintures italiennes du début de la Renaissance en France. Lors de sa visite à Albi, le 17 juillet 1838, Chateaubriand a été séduit par tant de chefs-d’œuvre et il déclarait au maire de la ville qui l’accompagnait : « vous avez plus qu’une église, vous avez un musée. » Ce décor rappelle qu’Albi a constitué un des grands centres de la Renaissance française, grâce à l’âge d’or du pastel, dont témoignent de nombreux hôtels Renaissance, édifiés lorsque la cité était une des capitales du Pays de Cocagne (XVe-XVIe s). Les quartiers anciens de la ville, bien conservés, forment un ensemble riche et authentique, vivant en symbiose avec le cœur de la cité épiscopale. Bien des illustrations permettent de découvrir les secrets et les richesses de ce centre historique, un des premiers secteurs sauvegardés créés en France. Mais ce vieil Albi n’est pas une ville-musée ; la ville a parfaitement réhabilité ces anciens quartiers, en les revitalisant et en les adaptant aux conditions de la vie moderne. Le visiteur, le touriste, l’amoureux de l’Art sont vite persuadés qu’Albi reste une cité de la sérénité et du bien vivre, un pôle touristique incontournable, « une ville faite surtout pour le culte de l’Art et d’une sereine philosophie », selon Jean Jaurès.
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