- EAN13
- 9782234093720
- ISBN
- 978-2-234-09372-0
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 31/08/2022
- Collection
- Essais - Documents (1)
- Nombre de pages
- 368
- Dimensions
- 21,5 x 13,6 x 2,4 cm
- Poids
- 360 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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« Toute personne qui prend sur elle d’ouvrir le dossier de l’identité doit s’attendre à s’y brûler les doigts. C’est un sujet des plus délicats, et des plus dangereux, d’autant qu’il est incandescent : à son contact se propage un feu qui éblouit peut-être, qui aveugle sûrement, mais qui n’éclaire ni ne réchauffe. »
Dans cet autoportrait philosophique, l’auteur affronte le plus épineux des problèmes, celui que nous pose notre identité. Pourquoi la simple information d’un lieu de naissance est-elle la source des souffrances les plus empoisonnées ?
Né au Liban et se voulant « plus français que les Français », Paul Audi se livre à une analyse rigoureuse et sensible des mécanismes combinés de la honte, de l’asservissement au regard des autres et de la haine de soi. Pour pénétrer les arcanes de son trouble et mettre en échec le démon de l’appartenance, il emprunte les chemins que lui désignent la relecture de certaines œuvres, notamment littéraires et cinématographiques.
Mais c’est à travers une réflexion sur l’identité juive, jusqu’au bouleversant épilogue, que ce texte à la première personne acquiert sa portée véritable : trouvant une sortie au désespoir identitaire, il met au jour une éthique de la cohabitation avec soi, dès lors que l’on a déposé les armes si longtemps brandies contre soi.
Dans cet autoportrait philosophique, l’auteur affronte le plus épineux des problèmes, celui que nous pose notre identité. Pourquoi la simple information d’un lieu de naissance est-elle la source des souffrances les plus empoisonnées ?
Né au Liban et se voulant « plus français que les Français », Paul Audi se livre à une analyse rigoureuse et sensible des mécanismes combinés de la honte, de l’asservissement au regard des autres et de la haine de soi. Pour pénétrer les arcanes de son trouble et mettre en échec le démon de l’appartenance, il emprunte les chemins que lui désignent la relecture de certaines œuvres, notamment littéraires et cinématographiques.
Mais c’est à travers une réflexion sur l’identité juive, jusqu’au bouleversant épilogue, que ce texte à la première personne acquiert sa portée véritable : trouvant une sortie au désespoir identitaire, il met au jour une éthique de la cohabitation avec soi, dès lors que l’on a déposé les armes si longtemps brandies contre soi.
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