- EAN13
- 9782866422813
- ISBN
- 978-2-86642-281-3
- Éditeur
- Cahiers du cinéma
- Date de publication
- 30/04/2001
- Collection
- Auteurs
- Nombre de pages
- 356
- Dimensions
- 23,7 x 16,7 x 1,8 cm
- Poids
- 608 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 791.43
- Fiches UNIMARC
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Jacques Rivette est parmi les cinéastes de la Nouvelle Vague celui qui reste aujourd’hui encore le plus mystérieux. Premier ouvrage à lui être consacré, le titre de ce livre en porte la trace : « Secret compris », c’est le fil conducteur qu’a suivi Hélène Frappat pour analyser les films, enquêter sur l’œuvre. La construction du livre, telle la règle d’un jeu, obéit à cette logique qui est aussi celle des films de Rivette. Hélène Frappat reconstitue son parcours de critique, de metteur en scène, en accumulant les indices : les écrits du brillant critique des Cahiers du cinéma, le tournant historique de la revue lorsqu’il en devient le rédacteur en chef, les scénarios, les films bien sûr, sans omettre les versions longues, les projets non aboutis, ni les deux documentaires, l’un sur Jean Renoir (le Patron), l’autre, plus de vingt ans plus tard, sur Jacques Rivette lui-même (le Veilleur) ; les témoins enfin, complices privilégiés dont Rivette n’hésite pas à déclarer qu’ils sont souvent à l’origine de ses films.
Jacques Rivette est parmi les cinéastes de la Nouvelle Vague celui qui reste aujourd’hui encore le plus mystérieux. Premier ouvrage à lui être consacré, le titre de ce livre en porte la trace : « Secret compris », c’est le fil conducteur qu’a suivi Hélène Frappat pour analyser les films, enquêter sur l’œuvre. La construction du livre, telle la règle d’un jeu, obéit à cette logique qui est aussi celle des films de Rivette. Hélène Frappat reconstitue son parcours de critique, de metteur en scène, en accumulant les indices : les écrits du brillant critique des Cahiers du cinéma, le tournant historique de la revue lorsqu’il en devient le rédacteur en chef, les scénarios, les films bien sûr, sans omettre les versions longues, les projets non aboutis, ni les deux documentaires, l’un sur Jean Renoir (le Patron), l’autre, plus de vingt ans plus tard, sur Jacques Rivette lui-même (le Veilleur) ; les témoins enfin, complices privilégiés dont Rivette n’hésite pas à déclarer qu’ils sont souvent à l’origine de ses films.
Ainsi le lecteur passera-t-il de l’analyse au récit, du témoignage au document, du roman d’apprentissage au précis alphabétique de mise en scène. Sur le parcours, quelques clefs en forme d’initiation lui permettront de se frayer une vision personnelle de l’univers rivettien : de la petite fille menacée des contes de fée (Céline et Julie) à la femme de trente ans actrice de sa propre vie (Va savoir), du théâtre (Paris nous appartient, L’Amour fou, La Bande des quatre) à la peinture (La Belle Noiseuse), de Balzac (Out 1) à Jean Renoir, du cinéma muet à la comédie musicale.
« Aujourd’hui s’achève mon enquête. Je n’ai pas compris le secret de Jacques Rivette, mais son œuvre m’a transmis un savoir. Le voici, entier, sans mesure, bienfaisant, inquiétant. » H.F
Jacques Rivette est parmi les cinéastes de la Nouvelle Vague celui qui reste aujourd’hui encore le plus mystérieux. Premier ouvrage à lui être consacré, le titre de ce livre en porte la trace : « Secret compris », c’est le fil conducteur qu’a suivi Hélène Frappat pour analyser les films, enquêter sur l’œuvre. La construction du livre, telle la règle d’un jeu, obéit à cette logique qui est aussi celle des films de Rivette. Hélène Frappat reconstitue son parcours de critique, de metteur en scène, en accumulant les indices : les écrits du brillant critique des Cahiers du cinéma, le tournant historique de la revue lorsqu’il en devient le rédacteur en chef, les scénarios, les films bien sûr, sans omettre les versions longues, les projets non aboutis, ni les deux documentaires, l’un sur Jean Renoir (le Patron), l’autre, plus de vingt ans plus tard, sur Jacques Rivette lui-même (le Veilleur) ; les témoins enfin, complices privilégiés dont Rivette n’hésite pas à déclarer qu’ils sont souvent à l’origine de ses films.
Ainsi le lecteur passera-t-il de l’analyse au récit, du témoignage au document, du roman d’apprentissage au précis alphabétique de mise en scène. Sur le parcours, quelques clefs en forme d’initiation lui permettront de se frayer une vision personnelle de l’univers rivettien : de la petite fille menacée des contes de fée (Céline et Julie) à la femme de trente ans actrice de sa propre vie (Va savoir), du théâtre (Paris nous appartient, L’Amour fou, La Bande des quatre) à la peinture (La Belle Noiseuse), de Balzac (Out 1) à Jean Renoir, du cinéma muet à la comédie musicale.
« Aujourd’hui s’achève mon enquête. Je n’ai pas compris le secret de Jacques Rivette, mais son œuvre m’a transmis un savoir. Le voici, entier, sans mesure, bienfaisant, inquiétant. » H.F
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