J'ai retrouvé avec plaisir le personnage de Mémé Cornemuse, pour de nouvelles aventures.

On suit en parallèle l'enquête de Ginette qui veut à tout prix découvrir qui a tué son mari au sombre passé.

Sans oublier les chansons d'Annie Cordy et la philosophie de JCVD qui ponctuent le récit.

Entre deux lectures plus exigeantes, ce fut un bon moment de détente.

L'image que je retiendrai :

Celle des chaussures jaunes de Lady Di que Ginette portent aux pieds, et sur lesquelles démarre le récit.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/03/27/29012170.html

Non, décidément, la plume du journaliste ne me plait pas.

Une écriture trop hâchée, au ton journalistique. Quelques envolées lyriques, trop peu.

Une histoire belle, pourtant, mais les va-et-vient temporels m'ont lassés.

Bref, je n'ai pas adhéré.

L'image que je retiendrai :

Celle de la lampe-tempête disposée sur la fenêtre la plus au sud.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/03/25/29212479.html

Voici un thriller français de bonne facture, à la limite du fantastique (mais vraiment sur la fin).

C'est bien écrit, l'histoire se tient et le suspens monte peu à peu, avec de belles scènes de sexe au coeur de l'intrigue.

Un petit goût suranné, car on compte encore en francs dans ce livre.

Ce qui m'a en revanche énormément gêné, ce sont les gros mots qui ponctuent le texte, inutiles et déstabilisants. Ils font même perdre de la crédibilité au récit, reléguant les personnages féminins à des "salopes à forte poitrine" (sic).

L'image que je retiendrai :

Celle de la fresque dévoilée peu à peu, et qui se continue dans les sous-sols de la fameuse chapelle.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/03/23/29466306.html

Un roman distopique intéressant, mais qui ne me restera pas longtemps en mémoire, car je n'ai pas eu le temps de m'attacher aux personnages.

Ceux-ci m'ont paru cliniques, tels des archétypes de leur catégorie. Et puis le personnage principal ne réfléchit pas plus loin que le bout de son nez.

Le propos de départ m'a paru également difficile à croire : faire de la lecture l'opium du peuple, remplaçant le shoot pour tous les drogués. Les gens devenant des drogués d'histoires.

Je suis donc passée à côté de ce roman.

L'image que je retiendrai :

Celle de l'appartement de fonction de 1075, avec cuisinier et femme de ménage. Mais 1075 y est désespérément seul.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/03/16/29139773.html

Ça démarrait bien, pourtant, avec un des personnages ressemblant à Richard Brautigan, un de mes auteurs préférés.

Mais le récit peine à se mettre en place et je n'ai lu le Japon qu'en milieu de roman.

Alors bien sûr, ce livre nous apprend ce qu'il est advenu de la zone de catastrophe naturelle et nucléaire du Sendai. Nous découvrons également ces salarymen "évaporés", ainsi que la main mise des yakuzas sur le pays.

Pourtant, comme l'auteur avec la civilisation japonaise qui lui demeure étrangère (dernières pages du livre), je suis également restée en-dehors de l'histoire, comme une touriste qui ne comprend ni les kanjis, ni les katakanas.

Je n'ai pas réussi à me laisser porter par les longues descriptions monotones, ni par l'enquête.

L'image que je retiendrai :

Celle des longs cheveux de Yukiko, qui fascinent Richard.

http://motamots.canalblog.com/archives/2014/03/10/29118820.html