Si vous cherchez un livre qui sort du lot, le voici.
Deux récits, deux regards sur la colonisation - l'avant et l'après.
Deux individus qui ne se croiseront pas mais dont les destins sont liés par les circonstances. Le premier a pour désir l'aventure et cela va le conduire à la découverte de la Côte d'Ivoire à la fin du XIXème siècle. Le second fera aussi une découverte, celle de ses origines, de l'Histoire de ce pays qu'il ne connaissait que dans les paroles de ses parents.
Gauz signe une des histoires de la colonisation, grâce à une mise à l'honneur des richesses linguistiques qui offrent une vigueur sans pareil au texte.
Elisabeth
Si vous cherchez un livre qui sort du lot, le voici.
Deux récits, deux regards sur la colonisation - l'avant et l'après.
Deux individus qui ne se croiseront pas mais dont les destins sont liés par les circonstances. Le premier a pour désir l'aventure et cela va le conduire à la découverte de la Côte d'Ivoire à la fin du XIXème siècle. Le second fera aussi une découverte, celle de ses origines, de l'Histoire de ce pays qu'il ne connaissait que dans les paroles de ses parents.
Gauz signe une des histoires de la colonisation, grâce à une mise à l'honneur des richesses linguistiques qui offrent une vigueur sans pareil au texte.
Elisabeth
"Tenir jusqu'à l'aube" explore un sujet difficile voire tabou dans notre société contemporaine "bien pensante" concernant les règles à suivre en matière d'éducation et de maternité. Notre narratrice est une mère célibataire, graphiste freelance donc travaillant depuis chez elle et n'enchaînant pas facilement les contrats tant le secteur est bouché. Elle se retrouve peu à peu prise au piège de...sa maternité, justement.
Carole Fives livre une fiction sur la Honte. Celle de vouloir avoir du temps pour soi quand on élève seule son enfant, mais surtout la honte d'être une femme qui n'incarne pas les stéréotypes de la maternité. Son souhait serait d'exister en dehors de CETTE maternité qui la bride.
Mais est-ce seulement acceptable pour une mère célibataire de laisser son enfant en bas âge sans surveillance pour être seule un moment ?
Carole Fives réussit encore une fois à faire un portrait social de notre époque.
Elisabeth
L'art du faux semblant.
Sous couvert de délire foutraque (mais néanmoins jouissif) où l'on croise pêle-mêle un gorille parlant, des extraterrestres et Hergé, Terry MOORE finit par nous émouvoir avec une histoire, finalement intimiste et touchante, traitée avec pudeur.
Laurent B.
Moi, ce que j'aime, c'est les monstres
1
De Emil Ferris
Traduit par Jean-Charles Khalifa
Monsieur Toussaint Louverture
Fascinante et touchante métaphore sur les difficultés de l'enfance, portrait d'une époque et de ses moeurs, hommage à la culture underground...et bien plus encore.
Oeuvre vertigineuse et éblouissante, c'est LA bd de l'année.
Laurent B.