Une femme au passé trouble et mystérieux, est persécutée par son frère. Le lecteur la suit pendant 24 heures de vertige, pendant lesquelles la fugitive va parcourir pour se cacher, tous les territoires de l’enfer : les bas-fond s de la drogue, la misère, les relations étranges qu’elle entretient depuis l’enfance avec son père et son frère jumeau… Un livre dans lequel les éléments d’un puzzle s’emboîtent, pour donner un dénouement inattendu, surprenant. C’est aussi un hymne à la vie. Le roman allie écriture, psychologie, intrigue magnifiquement.

Venise la mystérieuse et le monde ténébreux des trafiquants d’art. Nous suivons A. Ballesteros dans sa découverte du tableau de Giorgione La Tempête qui semble éveiller bien des convoitises. Si le personnage de Ballesteros est difficilement attachant, ce roman tient toutes ses promesses.

Un meurtre et la difficulté pour les populations de cohabiter sont le point de départ de ce roman qui, plus qu’un polar, est caractéristique du genre urbain tant il décrit parfaitement la misère sociale, émotionnelle et morale. Pas d’ enquête que l’on suivra page après page, mais des dialogues aiguisés qui font une œuvre fulgurante à mi-chemin entre la littérature et le cinéma.

Quatre Chiliens anarchistes condamnés à l’exil après le coup d’état de Pinochet décident de revenir à Santiago afin d’y vivre une ultime aventure révolutionnaire. Mais quand le cerveau du groupe meurt victime d’un coup du sort en forme de tourne-disque, les autres décident quand même de « tenter le coup ». Les personnages de Sepúlveda sont émouvants, attachants, drôles et en choisissant l’humour pour relater l’histoire tragique du Chili, l’auteur nous offre un texte qui ne peut laisser insensible.

Quatre Chiliens anarchistes condamnés à l’exil après le coup d’état de Pinochet décident de revenir à Santiago afin d’y vivre une ultime aventure révolutionnaire. Mais quand le cerveau du groupe meurt victime d’un coup du sort en forme de tourne-disque, les autres décident quand même de « tenter le coup ». Les personnages de Sepúlveda sont émouvants, attachants, drôles et en choisissant l’humour pour relater l’histoire tragique du Chili, l’auteur nous offre un texte qui ne peut laisser insensible.