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Wilfrid S.

21,80
Conseillé par (Libraire)
18 mars 2021

Simon exerce la profession de pourvoyeur en citations, il n'a qu'un seule client : son frère Rainer, un écrivain mondialement célèbre que personne n'a plus vu depuis vingt ans. Après la mort de leurs parents Rainer convoque son frère…
Si vous aimez : les histoires d'écrivains disparus, les dédales de livres et d'auteurs, les abimes vertigineux, alors ce livre est pour vous !

Conseillé par (Libraire)
1 mars 2021

Un bain d'émotions

Treize nouvelles qui touchent, qui touchent à l'intime, aux souvenirs, à la sensualité. Il ya du soleil sur la peau, de la lumière, la mer. Des rencontres qui vous font vaciller, des instants qui vous marquent. Il y a un fil entre toutes ces histoires, un fil d'émotion, un bain plutôt, le lecteur y plonge dès la première page et ne remonte à la surface qu'à la dernière.

Awa qui rêve d'ouvrir son salon de coiffure, cet homme qui découvre sa tombe et l'année de sa mort et ne pourra jamais plus vivre comme avant, le surnommé Balzac qui vient chaque semaine s'isoler dans un café pour suspendre le cours de sa vie, ces êtres qui perdent pied, qui s'effacent comme leur mémoire. C'est simple, juste et beau.

Conseillé par (Libraire)
1 mars 2021

Un bain d'émotions

Treize nouvelles qui touchent, qui touchent à l'intime, aux souvenirs, à la sensualité. Il ya du soleil sur la peau, de la lumière, la mer. Des rencontres qui vous font vaciller, des instants qui vous marquent. Il y a un fil entre toutes ces histoires, un fil d'émotion, un bain plutôt, le lecteur y plonge dès la première page et ne remonte à la surface qu'à la dernière.
Awa qui rêve d'ouvrir son salon de coiffure, cet homme qui découvre sa tombe et l'année de sa mort et ne pourra jamais plus vivre comme avant, le surnommé Balzac qui vient chaque semaine s'isoler dans un café pour susprendre le cours de sa vie, ces êtres qui perdent pied, qui s'effacent comme leur mémoire. C'est simple, juste et beau.

Conseillé par (Libraire)
1 février 2021

Un matin d'hiver un homme est retrouvé hagard, recroquevillé sous un banc, le tee-shirt couvert de sang, c'est un géant qui ne parle pas, le sang n'est pas le sien. L'affaire échoit au capitaine Jourdan comme celle de cet homme qui a tué toute sa famille. Jourdan est un flic au bout du rouleau, trop de violence, trop de folie, trop de silence dans son couple qui fait naufrage. Dans les rues de Bordeaux un ancien militaire, maniaque et misanthrope, traque les femmes seules, les prostituées pour les égorger. Louise vit seule avec son petit garçon, dans la hantise de voir surgir un ancien petit ami violent qui la harcèle, personne ne la protège.

Les éléments sont posés, à partir de là Hervé Le Corre déroule son histoire nocturne, âpre, servie par une écriture toujours aussi ciselée, les personnages touchent, accablés de solitude ou de folie. La figure du flic en bout de course, si elle n'est pas nouvelle, bouleverse, et rappelle le vieux shérif de No country for old man de Cormac McCarthy.

La lecture de ce mélancolique roman risque de vous laisser le cœur déchiqueté.
Wilfrid

Conseillé par (Libraire)
24 janvier 2021

Une ville moyenne de l'Est de la France, Mathilde vit là, seule, depuis douze ans, près de la place carrée, zone frontière entre la ville bourgeoise et les "quartiers" ; ex-sportive de haut niveau au physique toujours impressionnant, Mathilde parle peu et n'a pas d'amis. Elle travaille dans les services sociaux du Conseil départemental, chargée d'examiner les dossiers de demande d'aide d'urgence, elle voit défiler tous ceux qui n'arrivent plus à joindre les deux bouts : menacés d'expulsion, surendettés. Dans son quartier elle aide à faire "les papiers", les démarches, à remplir des formulaires abscons pour des familles d'immigrés, des personnes âgées. Un jour sa voisine Nadia vient la trouver, désespérée, elle a besoin d'aide, mais une aide que ne peut lui apporter ni les dossiers d'aide sociale, ni les recours légaux. Mathilde se retrouve confrontée à un passé trouble et douloureux qui nous est dévoilé au fil du récit.

Avec ce premier volet des chroniques de la place carrée, Tristan SAULE signe un roman noir social et tendu, tenu, haletant du début à la fin. Les personnages sont justes et touchants, les phrases claquent, la peinture sociale nous saisit : le portrait d'une société fracturée par de profondes inégalités, brossé sans pathos ni manichéisme.

Wilfrid