- EAN13
- 9782081298019
- Éditeur
- Arthaud
- Date de publication
- 23/01/2013
- Collection
- L'esprit voyageur
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Je ne songe qu’à vivre. Carnets de voyages inédits 1923-1933
Honoré d'Estienne d'Orves
Arthaud
L'esprit voyageur
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Aide EAN13 : 9782081298019
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Papier - Arthaud 21,00
En 1923, Honoré d’Estienne d’Orves n’est pas encore un emblème de la
Résistance, un nom qui ornera les rues de France après la Libération. C’est un
jeune homme qui vient de prendre le large, de quitter Paris, sa famille, son
milieu. Le monde s’ouvre à lui, avec ses hommes et ses richesses. Embarqué sur
la Jeanne, il découvre au gré des escales le Moyen- Orient, la Chine,
l’Afrique noire. Mais aussi Hawaï et Hollywood. "Rien que la terre", aurait
dit Paul Morand. Son tempérament méditerranéen, volubile et enthousiaste le
conduit à se passionner pour tous les pays où il pose le pied, leur
population, leur art, leur religion ; partout, l’enseigne de vaisseau
d’Estienne d’Orves multiplie les visites, les rencontres – les frasques aussi.
Il est à l’âge des grandes questions et des grandes passions. Il a
l’insouciance de sa jeunesse et une bienveillance issue de son éducation. Ses
carnets de voyages, inédits, vivants, intrigants de bout en bout, révèlent un
être inattendu : une nature insatiable et généreuse, qui fera merveille en
1940, quand la France connaîtra des heures dramatiques. Pour l’heure, Honoré
d’Estienne d’Orves "ne songe qu’à vivre".
Résistance, un nom qui ornera les rues de France après la Libération. C’est un
jeune homme qui vient de prendre le large, de quitter Paris, sa famille, son
milieu. Le monde s’ouvre à lui, avec ses hommes et ses richesses. Embarqué sur
la Jeanne, il découvre au gré des escales le Moyen- Orient, la Chine,
l’Afrique noire. Mais aussi Hawaï et Hollywood. "Rien que la terre", aurait
dit Paul Morand. Son tempérament méditerranéen, volubile et enthousiaste le
conduit à se passionner pour tous les pays où il pose le pied, leur
population, leur art, leur religion ; partout, l’enseigne de vaisseau
d’Estienne d’Orves multiplie les visites, les rencontres – les frasques aussi.
Il est à l’âge des grandes questions et des grandes passions. Il a
l’insouciance de sa jeunesse et une bienveillance issue de son éducation. Ses
carnets de voyages, inédits, vivants, intrigants de bout en bout, révèlent un
être inattendu : une nature insatiable et généreuse, qui fera merveille en
1940, quand la France connaîtra des heures dramatiques. Pour l’heure, Honoré
d’Estienne d’Orves "ne songe qu’à vivre".
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