- EAN13
- 9782130832461
- Éditeur
- PUF
- Date de publication
- 23/02/2022
- Collection
- Hors collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782130832461
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
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Il est difficile de trouver dans l’histoire une opposition plus totale que
celle de Spinoza et du christianisme. Le philosophe s’en prend aux Églises,
aux croyances, aux théologiens ; il dérange par sa conception de Dieu. Il
passe pour athée mais s’en défend ; il sera « mystique » pour d’autres. Mais
est-ce si simple ? Et s’il était ailleurs ? Il fallait donc reprendre le
dossier à la base : d’abord, comprendre. Loin des idées reçues, qu’en est-il
du rapport de Spinoza au christianisme de son temps ? Qu’en dit-il, qu’en
retient-il ? Et comment est-il interprété par les théologiens d’aujourd’hui ?
Qu’en disent-ils ? Qu’en retiennent-ils ? L’accueil est contrasté, du rejet à
la bienveillance. Pourtant voici que certains reconnaissent son extraordinaire
puissance d’inspiration : une rencontre est donc possible. Spinoza s’écarte
certes des énoncés majeurs du christianisme, mais c’est au point le plus
radical de la confrontation qu’il faut l’entendre. Sur l’affirmation de Dieu
comme sur l’exploration de la condition humaine, dans la diversité des champs
de l’éthique, il le provoque à élargir ses espaces de compréhension. En
somme, un nouveau regard sur une relation qui intrigue toujours.
celle de Spinoza et du christianisme. Le philosophe s’en prend aux Églises,
aux croyances, aux théologiens ; il dérange par sa conception de Dieu. Il
passe pour athée mais s’en défend ; il sera « mystique » pour d’autres. Mais
est-ce si simple ? Et s’il était ailleurs ? Il fallait donc reprendre le
dossier à la base : d’abord, comprendre. Loin des idées reçues, qu’en est-il
du rapport de Spinoza au christianisme de son temps ? Qu’en dit-il, qu’en
retient-il ? Et comment est-il interprété par les théologiens d’aujourd’hui ?
Qu’en disent-ils ? Qu’en retiennent-ils ? L’accueil est contrasté, du rejet à
la bienveillance. Pourtant voici que certains reconnaissent son extraordinaire
puissance d’inspiration : une rencontre est donc possible. Spinoza s’écarte
certes des énoncés majeurs du christianisme, mais c’est au point le plus
radical de la confrontation qu’il faut l’entendre. Sur l’affirmation de Dieu
comme sur l’exploration de la condition humaine, dans la diversité des champs
de l’éthique, il le provoque à élargir ses espaces de compréhension. En
somme, un nouveau regard sur une relation qui intrigue toujours.
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