- EAN13
- 9782307212744
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Nouvelles éditions Debresse)
- Date de publication
- 1961
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
« Les petites semaines » est l’histoire d’un de ces artistes comme il y en a
tant, le plus souvent inconnus : qu’ils soient ouvriers, paysans, étudiants,
épiciers... sculpteurs, musiciens, poètes ou peintres. « Les petites semaines
», ce n’est rien que la vie quotidienne, monotone, explosive : l’amour, les
soucis, le gagne-pain, les trajets, les camarades, la foule, les événements,
le monde en évolution : des quantités de visages d’amis et d’indifférents,
autour de deux yeux et d’un cœur. Objectivité et subjectivité ici se mêlent.
C’est l’histoire d’un jeune homme, qui ne voudrait plus être seul et qui,
pourtant, sait qu’il ne l’est pas. L’élan, sans cesse renouvelé, de l’homme
depuis qu’il existe : du moi au toi, du moi aux autres, du moi à la
connaissance de l’univers. C’est le rêve et le combat. Le rêve et la
désillusion. Le bélier et le butoir... Et puis, au bout, un triomphe. Il n’y a
rien à ajouter, sinon que la destinée racontée n’a rien d’exceptionnel.
L’expérience d’un chacun est toujours monumentale. Que le style du chroniqueur
lui donne les couleurs du prisme, et l’entoure des vertiges reposants de
l’espoir !
*[XVIIIe]: 18e siècle
tant, le plus souvent inconnus : qu’ils soient ouvriers, paysans, étudiants,
épiciers... sculpteurs, musiciens, poètes ou peintres. « Les petites semaines
», ce n’est rien que la vie quotidienne, monotone, explosive : l’amour, les
soucis, le gagne-pain, les trajets, les camarades, la foule, les événements,
le monde en évolution : des quantités de visages d’amis et d’indifférents,
autour de deux yeux et d’un cœur. Objectivité et subjectivité ici se mêlent.
C’est l’histoire d’un jeune homme, qui ne voudrait plus être seul et qui,
pourtant, sait qu’il ne l’est pas. L’élan, sans cesse renouvelé, de l’homme
depuis qu’il existe : du moi au toi, du moi aux autres, du moi à la
connaissance de l’univers. C’est le rêve et le combat. Le rêve et la
désillusion. Le bélier et le butoir... Et puis, au bout, un triomphe. Il n’y a
rien à ajouter, sinon que la destinée racontée n’a rien d’exceptionnel.
L’expérience d’un chacun est toujours monumentale. Que le style du chroniqueur
lui donne les couleurs du prisme, et l’entoure des vertiges reposants de
l’espoir !
*[XVIIIe]: 18e siècle
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