- EAN13
- 9782307294962
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Presses du Mail)
- Date de publication
- 1963
- Collection
- Les grands procès politiques
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Vanuxem acquitté...
Qui est Verdun ?
Robert Cario
FeniXX réédition numérique (Presses du Mail)
Les grands procès politiques
Livre numérique
Pas de preuve, pas la moindre. Pas un semblant, pas une ombre même... Rien que
des présomptions ! Des on-dit, sur des ouï-dire, quelques paroles perdues dans
la nuit du passé. Et pourtant, cela faisait deux années que le Général de
division Paul Vanuxem était en prison, sous l’inculpation de « complot contre
l’autorité de l’État »... Robert Cario a suivi cette affaire et la relate avec
son talent habituel, agrémentant ce dossier de ses commentaires propres, en
rendant ainsi plus aisée sa lecture. L’auteur, tout en voulant demeurer
objectif, a tenu à exposer son point de vue d’une façon très favorable au
grand personnage mis en cause : Vanuxen, le premier des généraux « suspects »,
accusé de complot O.A.S., que l’on ait acquitté, après qu’il eut contre-
attaqué au cours de son procès. C’était aussi la première fois qu’après le
verdict, le public n’entonnait pas la « Marseillaise ».
des présomptions ! Des on-dit, sur des ouï-dire, quelques paroles perdues dans
la nuit du passé. Et pourtant, cela faisait deux années que le Général de
division Paul Vanuxem était en prison, sous l’inculpation de « complot contre
l’autorité de l’État »... Robert Cario a suivi cette affaire et la relate avec
son talent habituel, agrémentant ce dossier de ses commentaires propres, en
rendant ainsi plus aisée sa lecture. L’auteur, tout en voulant demeurer
objectif, a tenu à exposer son point de vue d’une façon très favorable au
grand personnage mis en cause : Vanuxen, le premier des généraux « suspects »,
accusé de complot O.A.S., que l’on ait acquitté, après qu’il eut contre-
attaqué au cours de son procès. C’était aussi la première fois qu’après le
verdict, le public n’entonnait pas la « Marseillaise ».
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