- EAN13
- 9782356622761
- Éditeur
- Le Mercure Dauphinois
- Date de publication
- 06/11/2019
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Nicolas Berdiaev (1874-1948) - Un philosophe russe à Clamart - Colloque 22-23/11/18
Collectif
Le Mercure Dauphinois
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782356622761
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Stanislas Fumet essayiste de renom, dans sa belle préface au grand ouvrage de
Berdiaev "Le sens de la création", écrivait : « L’esprit de Berdiaev, qui est
la noblesse même - j’y insiste - se fraie des passages dans l’obscurité qui
font étinceler des splendeurs où nous sommes habitués à ne rien voir ». Les
organisateurs du présent colloque ne sauraient mieux dire la raison profonde
de l’indéfectible attachement qui les lie au vieux Maître russe. En 2013, en
introduction d’un précédent colloque, ils affirmaient ceci qu’ils tiennent à
redire, car leur conviction demeure identique, à ceci près qu’elle
s’intensifie chaque jour : « La pensée de Berdiaev - sur l’homme, sur Dieu,
sur la vérité, sur la liberté, sur l’amour, sur la beauté, sur l’acte créateur
-, est à même d’exploser sans retour les a priori conceptuels et les routines
intellectuelles qui paralysent la pensée et la vie de nos contemporains. Elle
est à même de leur ouvrir des espaces de méditation et de réflexion, de
perception et de signification, de création et d’action dont ils n’ont pas la
moindre idée. » Oui, de découvrir la pensée du philosophe de Clamart a sauvé
le grand historien Olivier Clément de « la nuit de l’âme ». Le vœu le plus
cher de ce colloque c’est, qu’à son issue, chacun ait perçu que cette
découverte est vraiment à même de réenchanter la vie.
*[5e]: Cinquième
Berdiaev "Le sens de la création", écrivait : « L’esprit de Berdiaev, qui est
la noblesse même - j’y insiste - se fraie des passages dans l’obscurité qui
font étinceler des splendeurs où nous sommes habitués à ne rien voir ». Les
organisateurs du présent colloque ne sauraient mieux dire la raison profonde
de l’indéfectible attachement qui les lie au vieux Maître russe. En 2013, en
introduction d’un précédent colloque, ils affirmaient ceci qu’ils tiennent à
redire, car leur conviction demeure identique, à ceci près qu’elle
s’intensifie chaque jour : « La pensée de Berdiaev - sur l’homme, sur Dieu,
sur la vérité, sur la liberté, sur l’amour, sur la beauté, sur l’acte créateur
-, est à même d’exploser sans retour les a priori conceptuels et les routines
intellectuelles qui paralysent la pensée et la vie de nos contemporains. Elle
est à même de leur ouvrir des espaces de méditation et de réflexion, de
perception et de signification, de création et d’action dont ils n’ont pas la
moindre idée. » Oui, de découvrir la pensée du philosophe de Clamart a sauvé
le grand historien Olivier Clément de « la nuit de l’âme ». Le vœu le plus
cher de ce colloque c’est, qu’à son issue, chacun ait perçu que cette
découverte est vraiment à même de réenchanter la vie.
*[5e]: Cinquième
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