- EAN13
- 9782749172354
- Éditeur
- Le Cherche Midi
- Date de publication
- 17/03/2022
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782749172354
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
9.99
Autre version disponible
-
Papier - Le Cherche Midi 15,00
Gare à la dictature du Bien...
Une menace nouvelle plane aujourd'hui sur notre société : celle venant
d'individus qui, rêvant d'une société plus juste, appellent à la censure "
pour le bien de tous ". Cette forme inédite d'autoritarisme prône ainsi la
mise au ban ou l'interdiction pure et simple des idées qu'elle ne partage pas,
et perçoit le langage même comme un danger potentiel qu'il est nécessaire de
corriger. Les bonnes intentions flirtent ainsi dangereusement avec le
totalitarisme : cancel culture, complaisance des médias, limitation du
discours public par les géants de la Silicon Valley, législation d'État sur
les discours " haineux ", etc. Une dictature du " Bien " reste une dictature.
Qui aurait pensé, il y a quelques années seulement, que défendre la liberté
d'expression, seul rempart efficace contre la tyrannie, suffirait à se faire
qualifier de réactionnaire ? Nous en sommes pourtant là. En ce temps de refus
du débat et de bannissement des opinions " contestables ", Andrew Doyle nous
livre une analyse d'une incroyable pertinence sur ce phénomène nouveau et
terrifiant.
Une menace nouvelle plane aujourd'hui sur notre société : celle venant
d'individus qui, rêvant d'une société plus juste, appellent à la censure "
pour le bien de tous ". Cette forme inédite d'autoritarisme prône ainsi la
mise au ban ou l'interdiction pure et simple des idées qu'elle ne partage pas,
et perçoit le langage même comme un danger potentiel qu'il est nécessaire de
corriger. Les bonnes intentions flirtent ainsi dangereusement avec le
totalitarisme : cancel culture, complaisance des médias, limitation du
discours public par les géants de la Silicon Valley, législation d'État sur
les discours " haineux ", etc. Une dictature du " Bien " reste une dictature.
Qui aurait pensé, il y a quelques années seulement, que défendre la liberté
d'expression, seul rempart efficace contre la tyrannie, suffirait à se faire
qualifier de réactionnaire ? Nous en sommes pourtant là. En ce temps de refus
du débat et de bannissement des opinions " contestables ", Andrew Doyle nous
livre une analyse d'une incroyable pertinence sur ce phénomène nouveau et
terrifiant.
S'identifier pour envoyer des commentaires.