- EAN13
- 9782917157473
- Éditeur
- La Volte
- Date de publication
- 06/06/2015
- Collection
- Transfiction
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Autre version disponible
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Papier - La Volte 18,00
Qui est Tony Montaldi ? Qu’un ex-flic s’exprime en latin, il y a de quoi
douter. Qu’il confie à Karen Novalsky, une privée, la recherche de sa moitié
schizophrénique, « disparue » sans laisser de trace et c’est tout l’univers
qui bascule dans un verre de scotch-benzédrine. Dessoûlée, Karen découvre
rapidement qu’elle n’est pas seule sur la piste. Mais quel rapport Montaldi et
son double perdu peuvent-ils entretenir avec la révolte des modz sur Europe ?
Avec les facéties d’Anima, une intelligence artificielle en butte à la
mélancolie ? Quel lien avec l’astronaute Abraham Flighenstein de retour de la
Nébuleuse de la Tarentule ? La mort d’un ingénieur de la Compagnie de
Navigation, en pleine dérive synaptique ? Les peines de cœur du lieutenant
Katleen Slovotba ? La reconversion de Gros-Bœuf en lapin dealer ? Et avec les
tiraillements d’une poignée d’universicules ? Tony Montaldi pourrait aussi
bien être la clé d’un complot aux dimensions interstellaires qu’un McGuffin
jeté par un dieu ivre à ses ouailles défoncées. Mais si une Danseuse a pris la
peine de quitter la fin des temps pour venir mettre de l’ordre du côté de
Narcose, c’est que manifestement, « un frottement de branes et de cordes,
d’étincelles quantiques » ont fini par mettre « le feu aux poudres de la
Structure. » Dernières nouvelles ! On annonce l’évasion de Belzébuth et de sa
bande de mouches… Le Tueur venu du Centaure déroule un récit qui, ainsi que le
définit Jacques Barbéri, « passe le cyberpunk et le polar hard boiled à la
moulinette de l’avant-pop ! » Une délectation où la langue tortille comme une
« plastiqueue », suave, neuve. Fourrageusement rabelaisienne. Le Tueur venu du
Centaure est le troisième volet, inédit, du tryptique de Narcose.
douter. Qu’il confie à Karen Novalsky, une privée, la recherche de sa moitié
schizophrénique, « disparue » sans laisser de trace et c’est tout l’univers
qui bascule dans un verre de scotch-benzédrine. Dessoûlée, Karen découvre
rapidement qu’elle n’est pas seule sur la piste. Mais quel rapport Montaldi et
son double perdu peuvent-ils entretenir avec la révolte des modz sur Europe ?
Avec les facéties d’Anima, une intelligence artificielle en butte à la
mélancolie ? Quel lien avec l’astronaute Abraham Flighenstein de retour de la
Nébuleuse de la Tarentule ? La mort d’un ingénieur de la Compagnie de
Navigation, en pleine dérive synaptique ? Les peines de cœur du lieutenant
Katleen Slovotba ? La reconversion de Gros-Bœuf en lapin dealer ? Et avec les
tiraillements d’une poignée d’universicules ? Tony Montaldi pourrait aussi
bien être la clé d’un complot aux dimensions interstellaires qu’un McGuffin
jeté par un dieu ivre à ses ouailles défoncées. Mais si une Danseuse a pris la
peine de quitter la fin des temps pour venir mettre de l’ordre du côté de
Narcose, c’est que manifestement, « un frottement de branes et de cordes,
d’étincelles quantiques » ont fini par mettre « le feu aux poudres de la
Structure. » Dernières nouvelles ! On annonce l’évasion de Belzébuth et de sa
bande de mouches… Le Tueur venu du Centaure déroule un récit qui, ainsi que le
définit Jacques Barbéri, « passe le cyberpunk et le polar hard boiled à la
moulinette de l’avant-pop ! » Une délectation où la langue tortille comme une
« plastiqueue », suave, neuve. Fourrageusement rabelaisienne. Le Tueur venu du
Centaure est le troisième volet, inédit, du tryptique de Narcose.
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