- EAN13
- 9782925085270
- Éditeur
- Annika Parance Éditeur
- Date de publication
- 21/11/2022
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - ANNIKA PARANCE 23,50
Lorsqu’un homme vêtu d’une robe blanche vandalise une toile du musée
Carnavalet, Antoine G., un restaurateur d’œuvres d’art québécois vivant à
Paris, est aussitôt engagé pour la remettre en état. Obsédé par cette
peinture, il croit reconnaître sa grand-mère dans l’un de ses personnages. Il
revoit les événements qui ont conduit cette dernière à la folie, des années
plus tôt, et s’interroge sur les réelles raisons ayant mené à son internement.
Sorte d’enquête psychologique à suspens, ce roman se construit autour de
descriptions de lieux et de tableaux qui entraînent Antoine G. dans une
spirale d’hallucinations. Ses étranges visions le transportent dans le Paris
de 1910, alors que les secrets cachés dans la toile se mélangent à ses propres
souvenirs d’enfance. Les scènes peintes par l’artiste ne seraient-elles pas
davantage porteuses de vérité que la réalité elle-même ? Le récit suscite une
réflexion sur la dualité entre folie et normalité, entre féminin et masculin.
Qui décide ce qui est acceptable socialement ? Sur quels fondements se bâtit
l’identité de genre ? « La signature rouillée » mêle plusieurs genres comme le
polar et le fantastique. David Beaudoin y utilise habilement le principe de
réminiscence, faisant voyager son lecteur entre le Paris moderne et le Québec
rural des années 1980.
Carnavalet, Antoine G., un restaurateur d’œuvres d’art québécois vivant à
Paris, est aussitôt engagé pour la remettre en état. Obsédé par cette
peinture, il croit reconnaître sa grand-mère dans l’un de ses personnages. Il
revoit les événements qui ont conduit cette dernière à la folie, des années
plus tôt, et s’interroge sur les réelles raisons ayant mené à son internement.
Sorte d’enquête psychologique à suspens, ce roman se construit autour de
descriptions de lieux et de tableaux qui entraînent Antoine G. dans une
spirale d’hallucinations. Ses étranges visions le transportent dans le Paris
de 1910, alors que les secrets cachés dans la toile se mélangent à ses propres
souvenirs d’enfance. Les scènes peintes par l’artiste ne seraient-elles pas
davantage porteuses de vérité que la réalité elle-même ? Le récit suscite une
réflexion sur la dualité entre folie et normalité, entre féminin et masculin.
Qui décide ce qui est acceptable socialement ? Sur quels fondements se bâtit
l’identité de genre ? « La signature rouillée » mêle plusieurs genres comme le
polar et le fantastique. David Beaudoin y utilise habilement le principe de
réminiscence, faisant voyager son lecteur entre le Paris moderne et le Québec
rural des années 1980.
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