- EAN13
- 9791039202145
- ISBN
- 979-10-392-0214-5
- Éditeur
- Archipoche
- Date de publication
- 05/01/2023
- Nombre de pages
- 368
- Dimensions
- 20,2 x 12,8 x 2,8 cm
- Poids
- 312 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le nid de colombes - suivi de Pension allemande
De Katherine Mansfield
Traduit par Charles Mauron, Madeleine T. Guéritte, André Bay, Marguerite Faguer
Archipoche
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Pension allemande, le premier recueil de Katherine Mansfield, et Le Nid de colombes, le testament littéraire de l'une des plus grandes nouvellistes du XXe siècle sont rassemblés dans ce volume.
Milly Fawcett et sa mère n'attendaient personne. Sur le balcon, elles jouissaient de l'odeur des roses et du bleu de la mer, quand Marie est venue annoncer la visite d'un Américain disant avoir connu feu Mr Fawcett. Quand, le mercredi suivant, l'homme revient avec sa fille et sa compagne, on a mis les petits plats dans les grands. Ce qui promettait d'être un joyeux déjeuner se déroule dans une douce torpeur. Qu'en aurait pensé le défunt ? Laissée inachevée par Katherine Mansfield (1888-1923), " Le Nid de colombes " est une des nouvelles posthumes rassemblées dans ce recueil. " On ne pense pas devant ces tendres et délicates merveilles à faire oeuvre de critique, disait Edmond Jaloux. On les chérit avec son coeur et non avec son esprit. " Elle est suivie de Pension
allemande (1911), galerie de tableaux inspirés par un séjour outre-Rhin, où se devinait l'influence de Tchekhov.
Milly Fawcett et sa mère n'attendaient personne. Sur le balcon, elles jouissaient de l'odeur des roses et du bleu de la mer, quand Marie est venue annoncer la visite d'un Américain disant avoir connu feu Mr Fawcett. Quand, le mercredi suivant, l'homme revient avec sa fille et sa compagne, on a mis les petits plats dans les grands. Ce qui promettait d'être un joyeux déjeuner se déroule dans une douce torpeur. Qu'en aurait pensé le défunt ? Laissée inachevée par Katherine Mansfield (1888-1923), " Le Nid de colombes " est une des nouvelles posthumes rassemblées dans ce recueil. " On ne pense pas devant ces tendres et délicates merveilles à faire oeuvre de critique, disait Edmond Jaloux. On les chérit avec son coeur et non avec son esprit. " Elle est suivie de Pension
allemande (1911), galerie de tableaux inspirés par un séjour outre-Rhin, où se devinait l'influence de Tchekhov.
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