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Cyrille L.

Conseillé par (Libraire)
29 juillet 2013

L’histoire incroyable, très surprenante d’un pianiste qui veut tout… sauf se produire en concert ! Se sont ses frasques que l’auteur nous donne à suivre, en compagnie de son homme de compagnie, qui le pousse littéralement sur scène. Un roman curieux, mais subtil et bien écrit, avec deux parties distinctes qui pour autant ne déroutent pas le lecteur.

Conseillé par (Libraire)
29 juillet 2013

L’histoire incroyable, très surprenante d’un pianiste qui veut tout… sauf se produire en concert ! Se sont ses frasques que l’auteur nous donne à suivre, en compagnie de son homme de compagnie, qui le pousse littéralement sur scène. Un roman curieux, mais subtil et bien écrit, avec deux parties distinctes qui pour autant ne déroutent pas le lecteur.

Patrick Grainville

Le Seuil

Conseillé par (Libraire)
29 juillet 2013

Sur la côte Atlantique, deux jeunes amants, Eric et Léna, décident de relever les défis qu'offrent l'océan et les arènes : le surf et la tauromachie. Dans un roman plein de passion, se mêlent des sentiments contradictoires, des désirs de conquêtes, de peur et de douleur.

Conseillé par (Libraire)
29 juillet 2013

Le 23 février 1981, une tentative de coup d’Etat ébranle la jeune démocratie espagnole. Trois députés décident de s’opposer en restant à leur place au Congreso, défiant ainsi le colonel Tejero et ses gardes civils. Cet événement retransmis à la télévision a tenu en haleine les espagnols et Cercas a voulu s’en inspirer pour écrire un roman. Mais c’est un essai qu’il publie, très simple, précis et richement documenté, un ouvrage en hommage à ceux qui n’ont pas voulu céder et qui passionnera tous les lecteurs spécialistes ou non de l’histoire de l’Espagne.

Conseillé par (Libraire)
29 juillet 2013

Voici un remarquable premier roman, la quête existentielle d’un personnage hanté par ses origines qui le ramènent à Beyoglu, un quartier d’Istanbul. Entre nostalgie et humour, nous sommes sensibles à la justesse des évocations de la ville qui restituent l’atmosphère stambouliote mais David Boratav ne verse pas pour autant dans l’exotisme ; c’est même avec originalité qu’il nous initie à la langue turque « une langue qui n’était pas la sienne [et dans laquelle] il s'est égaré ».