Cette biographie illustrée publiée à l’occasion de l’entrée au Panthéon de Jean Zay, se présente comme l’esquisse du portrait intellectuel et politique de cette figure essentielle de l’histoire du Front populaire. En mettant l’accent sur le caractère indissociable de ses formations intellectuelles et de son action politique ministérielle, les auteurs proposent ici, sinon une hagiographie utile, du moins un travail initiatique intéressant et accessible, qui met en lumière la modernité et la probité d’un homme qui a indéniablement représenté un point critique et tragique de l’histoire politique française.

C’est la nouvelle tendance des amateurs de pâtes : réunir dans une casserole les pâtes et les autres ingrédients d’un plat puis ajouter l’eau et les aromates pour tout faire mijoter en même temps. Les recettes se déclinent avec viandes, poissons, légumes… Idéal, rapide, et délicieux !

Quel bonheur de retrouver Gerlof, attachant octogénaire qui mène l’enquête bien malgré lui dans ce polar tendu à l’atmosphère trouble. Bien ficelé, "Fin d’été" est un roman passionnant et percutant aux personnages atypiques qui en font toute la saveur ! Incontestablement un bon polar !

Cet ouvrage critique est le fruit d’un vaste travail historique et sociologique, dont la méthode d’investigation est à la fois "archéologique" et "généalogique". Ainsi, il entend rendre compte du processus global de la « gouvernance par les nombres », qui, dorénavant, a "malheureusement" investi tous les pans essentiels de notre vie quotidienne dans le monde et la société, et ce au détriment du souci de la loi et de la justice, de la chose publique et de l’intérêt général : outre l’État et la justice, l’école, l’entreprise et le management qui la domine, la sécurité et la nature sont aussi concernés.

Cet ouvrage critique est le fruit d’un vaste travail historique et sociologique, dont la méthode d’investigation est à la fois "archéologique" et "généalogique". Ainsi, il entend rendre compte du processus global de la « gouvernance par les nombres », qui, dorénavant, a "malheureusement" investi tous les pans essentiels de notre vie quotidienne dans le monde et la société, et ce au détriment du souci de la loi et de la justice, de la chose publique et de l’intérêt général : outre l’État et la justice, l’école, l’entreprise et le management qui la domine, la sécurité et la nature sont aussi concernés.